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L’appel du Coucou : le livre de J.K. Rowling propulsé en tête des ventes

JK-Rowling-IDBOOXCe n’est plus un secret pour personne J.K. Rowling a écrit un roman sous le nom d’emprunt. « Cuckoo’s Calling » ou « L’appel du coucou » a été publié sous le nom de Robert Galbraith par Hachette. Sorti en avril, le livre raconte l’histoire d’un ancien militaire devenu détective privé.

Avant que le véritable nom de l’auteur ne soit dévoilé sur Twitter par un mystérieux informateur, « L’appel du coucou » ne faisait pas vraiment partie des bestsellers. Il s’était vendu à 1 500 copies au Royaume-Uni et 1 800 aux Etats-Unis.

Le nom de J.K Rowling a tout changé. Le livre a été propulsé en tête des ventes chez Amazon, Apple et Barnes & Noble. Dans les deux pays, « Cuckoo’s Calling » s’est classé chez Amazon numéro 1 des ventes numériques  Kindle et deuxième dans le top des livres papier.  Hachette qui n’avait imprimé que 10 000 unités va maintenant faire un retirage de 300 000 copies.

Il est devenu numéro 1 des ventes ebooks et papier chez Barnes & Noble. Il a aussi pris la première place sur l’iBookstore. J.K. Rowling souhaitait garder le plus longtemps possible le secret pour ne pas sentir la pression des attentes.

J.K. Rowling confie dans un communiqué : « cela a été un vrai plaisir d’avoir le retour des éditeurs et des lecteurs sous un angle différent… Et pour ceux qui ont demandé une suite, Robert a bien l’intention de continuer à écrire la série… ».

Selon LivresHebdo, « L’appel du coucou » devait paraître en janvier 2014 chez Grasset. Le livre était initialement prévu en France pour l’année prochaine mais l’éditeur à préféré avancer la date à octobre 2013. 

The Cuckoo’s Calling est déjà disponible en version anglaise sur Amazon.fr en ebook et en papier
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Source : PaidContent

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1 COMMENTS

  1. Voilà encore une affaire qui laisse rêveur sur le marché de l’édition. Sans la notoriété ou la médiatisation, une oeuvre littéraire, bonne ou pas, n’a quasiment aucune pénétration dans le marché. A l’inverse, portée par un effet marketing, elle peut tout casser. On se demande comme Balzac et Flaubert ont pu se passer de Twitter.

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