C’est un grand pas pour la culture universelle, UMA vient d’ouvrir ses portes. Ce musée entièrement virtuel est à découvrir très vite sur smartphone, tablette, ordinateur et avec un casque de réalité virtuelle. 

L’objectif du projet UMA (Universal Museum of Art) est énorme. Le musée ambitionne de devenir le plus grand musée du monde en moins de 2 ans.  UMA est gratuit, partout, et s’adresse à tout le monde.

Équipé d’un ordinateur, une tablette, un smartphone, ou d’un casque VR, la visite est ouverte à chacun et permet d’accéder à des expositions pensées pour tous.

Loin d’imaginer remplacer le musée physique ce nouveau concept entend diffuser son image et propager l’affirmation de sa pertinence actuelle ; c’est un rôle de centralisation et de complémentarité, que veulent atteindre les concepteurs du projet.

UMA un portail et des expos

A priori le musée se présente sous la forme d’un portail web multilingue. Mais, quand on y pénètre on sent immédiatement que la visite va être unique, ludique et sidérante.

Pour son lancement, UMA s’est associé à un éditeur de livres et pas des moindres.

En collaboration avec les Éditions Diane de Selliers, la première exposition est consacrée aux cinq grands mythes fondateurs de l’humanité.

Les visiteurs découvriront comme jamais, le Ramayana, illustré par la miniature indienne, l’Iliade et l’Odyssée d’Homère, illustrés par Mimmo Paladino, l’Énéide de Virgile, illustré par la fresque et la mosaïque antique, les Métamorphoses d’Ovide, illustré par la peinture Baroque, et, l’Apocalypse de Saint-Jean, illustré par la tapisserie d’Angers.

Les œuvres et les textes, présentés dans cette exposition cohabitent ensemble dans une scénographie à couper le souffle.

UMA en direct depuis votre fauteuil

Comme un musée ayant pignon sur rue, UMA a déjà envisagé de vous accueillir pour d’autres expos avec une programmation riche.

« Chefs-d’oeuvre du Street Art », débutera le 20 février. Cette expo sera suivie par « Les images cachées dans la peinture du XIXe et du XXe siècles » en mai 2018.  Et en septembre vous irez à la rencontre des « Chefs-d’œuvre spoliés ».

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