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France : un Prix de l’autoédition pour 2015

prix autoedtion 2015 ebooks IDBOOXLes auteurs indépendants se font entendre. Avec le livre numérique il est maintenant possible de publier facilement ses écrits. Les nombreuses solutions existent pour éditer aussi ses livres en version papier.

Les auteurs autoédités, sont souvent très mobilisés et solidaires, ils échangent, se conseillent et créent ainsi un écosystème plutôt sain dans le nouveau paysage éditorial.
Les publications sont nombreuses et il était grand temps de récompenser ce travail parfois si solitaire ! 

Bruno Challard est auteur, il a décidé de monter le premier prix de l’autoédition en France. Cette initiative commence à prendre dans le vivier des auteurs français et déjà 33 œuvres littéraires sont en compétition. Parmi les livres en lice on note la présence de Maxime Frantini pour « l’héritage Pastor Raspail, Benjamin Nemopode pour « Un autre regard sur la bipolarité » ou encore Ann London-Fish pour « 50 ANS ? Dans tes rêves ! ».

Le “Prix Auto-Edition 2015” sera attribué à 4 livres d’auteurs auto-édités dans chacun des genres suivants :
– Narratif (roman, nouvelles…)
– Poétique
– Graphique (bande dessinée, manga…)
– Explicatif (ouvrages pratiques, guides, tutoriels…)

Les auteurs sont invités à proposer leurs ouvrages jusqu’au 15 décembre 2014, les livres devront correspondre aux critères précis décrits dans le règlement.
Les lauréats seront connus en octobre 2015.
Pour être membre du jury ou proposer son livre c’est ici

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6 COMMENTS

  1. Bruno, je trouve juste dommage d’avoir privilégié ces trois auteurs par rapport aux 55 autres qui participent à ce Prix de l’Autoedition 2015. (C’est juste une remarque d’auteure autoéditée participante). Mais cela ne gréve en rien votre excellent travail pour ce Prix. Merci.

    Dominique

  2. vous êtes dur Philippe; vous pouvez au contraire aider en faisant des suggestions positives pour améliorer le logo et le rendre plus professionnel. On peut dire beaucoup quant aux fooootes d’orthographe mais il s’agit d’une conversation écrite et quand on observe nos commentateurs télé, on se rend compte de bien pire encore! bon n’envenimons pas les choses, ce n’est pas mon désir

  3. Bonjour Philippe, les 2 orthographes sont admises depuis longtemps et je corrige assez d’ouvrages (même s’il m’arrive aussi de faire des fautes) pour ne pas être plus royaliste que le roi.
    En ce qui concerne le reste, les goûts et les couleurs…
    Pour en revenir à l’essentiel du sujet, ce qui est important c’est de mettre en place les outils et les moyens pour développer une auto-édition de qualité et la faire connaître. Et ce prix, entre autres moyens que j’ai déjà mis en place, en est un.
    Après on peut être d’accord où non avec la manière (il y en aura toujours pour ne pas approuver), mais si on veut vraiment être constructif dans les critiques, il faut d’agir de l’intérieur, c’est à dire participer activement à ces projets que j’essaye de rendre collectifs tant vis à vis du public visé que dans leur réalisation et leur mise en place. Ainsi, concrètement, pour parler du prix, ce sont les membres du jury qui discutent des solutions proposées et les adoptent et ce jury est ouvert à tous !

  4. Ce serait mieux sans la faute d’orthographe directement sur le logo du prix.

    Criard, visuel sans signification, dégradés, effets Photoshop lourdingues, fonte visiblement écrasée, boîte pour mettre le texte parce que l’arrière plan est inutilement chargé… Ce logo condense à lu seul tout ce que l’on reproche à l’autoédition.

    Je n’aime pas être trop critique, mais si on veut être pris au sérieux, il faut se professionnaliser.

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