Claire Casti de Rocco publie son second roman, elle a choisi l’autoédition. Rien d’autre que la vie est le genre de livre qui aimante le lecteur. C’est un livre à savourer à l’ombre d’un grand arbre.
L’auteure sait nous émouvoir sans tomber dans la mièvrerie. Claire Casti de Rocco écrit de façon fluide, simple, ses mots sont frais, dans l’air du temps.
La couverture de son livre nous embarque tout de suite dans une histoire profonde avec une légèreté qui fait du bien, nous avons eu le sentiment de découvrir une nouvelle Anna Gavalda avec toutefois, un style bien à elle.
Claire Casti de Rocco nous a accordé une interview pour mieux vous faire découvrir ce roman à ne pas manquer !
Vous publiez Rien d’autre que la vie, votre titre a un petit air à la Anna Gavalda non ? D’ailleurs votre héroïne s’appelle Anna…
Je n’ai pas la prétention de me comparer à Anna Gavalda, mais je dirais que oui, mon livre a un petit quelque chose dans ce goût-là.
C’est un roman contemporain. Et donc une histoire de vie. Je l’ai écrite pour y faire résonner l’émotion. Je l’ai moi-même ressentie à l’écriture. J’aimerais que le lecteur la ressente aussi à la lecture. Et cela dit, j’aime beaucoup les romans d’Anna Gavalda.
Que diriez-vous sur votre livre à un lecteur pour l’inviter à le lire ?
Le lecteur y trouvera tous les ingrédients qui évoquent la vie : amitié sincère, (grand) amour, émotions antagonistes (la nostalgie, le doute, la mort, le bonheur de vivre, l’insouciance, l’espoir…)
L’intrigue est là où on ne l’attend pas, pour reprendre le terme d’une de mes lectrices. Le lecteur s’immerge dans la jeunesse d’Anna grâce à un manuscrit oublié, qu’elle avait elle-même rédigé à ses 18 ans. Ce qui permettra de saisir la force des liens qui l’unissaient à Laurent, entre autres.
Tout part d’une annonce que l’on fait à Anna : la mort de son premier amour, Laurent, et qui va la bouleverser. Encore plus avec la lettre qu’il lui a laissée après quinze ans de silence. Et elle va tenter, malgré elle, de comprendre pourquoi il n’était jamais revenu vers elle.
Rien d’autre que la vie, est un titre fort, quel est le message subliminale ?
L’histoire d’Anna symbolise la pureté des instants fragiles. Ils sont tellement beaux, et parce qu’on les vit tellement fort, qu’on sait qu’ils ne reviendront jamais.
C’est un livre teinté à la fois de mélancolie et du bonheur de vivre. Il fera écho aux lecteurs pour leur rappeler l’insouciance qu’ils avaient oubliée, leur rappeler que la jeunesse est éternelle.
Vous avez choisi l’autoédition pourriez-vous nous expliquer pourquoi ?
L’autoédition, je dirais que c’est une “facilité”, pour ne pas dire une “opportunité”.
On peut publier rapidement, sans passer par un processus d’attente et d’angoisse, sans appréhender un refus fatal de qui que ce soit.
C’est du temps et de l’énergie de gagnés à presque tous les niveaux. On peut interagir avec les lecteurs, communiquer avec d’autres auteurs, faire des rencontres que l’on aurait sans doutes pas faites si l’on était passé par l’édition traditionnelle.
Rien d’autre que la vie est disponible en ebook et en livre papier
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