Vous êtes auteur, parfois votre ordinateur vous insupporte, les notifications, les emails vous déconcentrent de votre travail et vous n’avancez pas dans votre nouveau roman.
Il existe une solution innovante. La Freewrite conçue par Astrohaus allie le mythe de la machine à écrire et l’ordinateur sans connexion.
Freewrite la machine à écrire du 21e siècle
Avec ce clavier qui garde un petit look vintage, vous tapez vos textes. La machine Freewrite est connectée en Wifi exclusivement mais ne vous propose aucune autre activité que l’écriture.
Vos pages tapuscrites sont archivées dans le cloud. Vous y accédez quand vous voulez et les exportez ensuite sur votre ordinateur.
Freewrite comment ça marche ?
La machine à écrire Freewrite présente un clavier à touches mécaniques. L’écran quant à lui fonctionne avec de l’encre électronique (comme pour les liseuses).
Il bénéficie d’un éclairage intégré, vous pouvez donc écrire même dans le noir.
De plus l’e-ink permet d’emporter la machine partout en plein soleil vous pourrez voir ce que vous avez écrit sur l’écran.
Vos brouillons sont automatiquement téléchargés dans l’application Web Postbox à l’aide d’un cryptage SSL 256 bits et synchronisés avec vos outils favoris tels que Dropbox, Evernote, etc.
De plus, la Freewrite prend en charge 20 langues. Elle propose une autonomie honorable (4 semaines de fonctionnement avec un usage régulier défini comme 30 minutes par jour) sans besoin de la recharger.
Bien entendu, vous pouvez écrire sans être connecté au Wifi et la machine garde en mémoire vos textes jusqu’à l’export via la connexion Wi-fi. Autre point intéressant, elle pèse 1.8kg.
Nous avons été séduits par la Freewrite car elle répond à des besoins évidents quand on travaille, qu’on a envie de déconnecter sans pour autant vivre dans une grotte… ou qu’on est auteur.
Avec le carnet de notes papier celui-ci, c’est un outil qui pourrait devenir indispensable, qu’en pensez-vous, en tous les cas c’est une innovation intéressante ?
Si vous craquez, ce petit joujou coûte dans les 400 euros, tout de même !