Le réseau social Ello lancé courant 2014 a été vu par certains comme une menace mettant fin à la 

croissance de Facebook.

Ipsos a voulu en savoir plus, afin de déterminer si le réseau conçu par Mark Zuckerberg était en mauvaise posture dans l’hexagone.
En partenariat avec Aura Mundi,et l’Argus de la Presse, l’institut de sondages a mené l’enquête sur Facebook et les Français.
Voici les chiffres clés de cette étude :

Les français toujours aussi convaincus

Aujourd’hui, Facebook détient un taux de reconnaissance de 97% auprès des français.
62% de la population est inscrite sur le réseau et 42% l’utilisent régulièrement.

Les jeunes ne délaissent pas cet outil de communication perçu comme indispensable : 84% des 15-24 ans, et 80% des 25-34 ans possèdent un profil Facebook.
Les parents et les grands-parents y sont aussi fortement représentés: 64% des 35-44 ans ont un profil, 61% des 45-54 ans et même 45% des 55 ans et plus répondent présents.

Les parents, même pas peur ! 

Une utilisation intensive, 71% des répondants estiment que le réseau de Zuckerberg représente une part importante de leur présence sur Internet et 39% estiment que ce site leur est indispensable, presque de façon addictive.

Les nouveaux réseaux sociaux comme Ello ne semblent pour le moment pas avoir d’incidence sur les jeunes et sur leur utilisation de Facebook : Près de trois Français sur quatre (73%) considèrent que c’est aujourd’hui le réseau social « le plus actif et le plus dynamique ». 76% des 15-24 ans partagent ce sentiment, ainsi que 78% des 25-35 ans.

La présence des parents n’est pas un facteur de rejet de la part des jeunes. Et pour cause, un tiers des utilisateurs ont leurs parents présents dans leurs contacts, 72% ne sont pas gênés par leurs présences. Et 75% des 15-24 ans, déclarent n’avoir rien à cacher à leurs parents !

Conclusion, Facebook a encore de beaux jours devant lui, le réseau social le plus utilisé de France continue de convaincre, malgré son insistance toujours plus grande à entrer de façon pernicieuse dans nos vies. 
Par ailleurs, l’Europe a autorisé le rachat de WhatsApp par Facebook, la boucle est bouclée.

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