
Les fans du réseau social ont réagi par centaines. Certains l’ont accusé d’être vénale et d’autres ont compris sa décision.
L’écrivain se justifie: « Nous arrivons en troisième position » des pays où l’on pirate le plus « juste derrière la Chine et la Russie, mais objectivement ils sont bien plus nombreux que nous, donc nous sommes les vainqueurs par habitant ».
Pour L. Etxebarría, le gouvernement espagnol doit légiférer sur le sujet mais selon elle, ce dernier subit des pressions. Elle rappelle également que José Luis Rodríguez Zapatero a récemment abandonné le projet de loi anti-piratage « ils ont trop peur » déclare t’elle excédée.
Il est important de noter que le dernier roman de l’écrivain n’est pas disponible en livre électronique. C’est la version papier qui a été piratée.
Source : El Pais



