En attendant que mon disque d’Assassin’s Creed Valhalla arrive dans ma boîte aux lettres, on découvre ou redécouvre le chef d’œuvre Ori and the Will of the Wisps.
J’explore ces dernières semaines le contenu du XBOX Game Pass entre découvertes aveugles et jeux repérés auparavant mais pour lesquels je n’avais pas pris le temps de jouer avant comme Ori and the Will of the Wisps.
Sorti en début d’année, ce jeu est la suite d’Ori and The Blind Forest mais que nos lecteurs se rassurent, nul besoin d’avoir joué au premier opus pour profiter de ce nouvel épisode.
Embarquons ensemble dans le monde onirique d’Ori dans ce test au cœur du XBOX Game Pass sur XBOX One X !
Tout comme Fe que je vous ai présenté il y a quelques semaines, Ori jouit d’une direction artistique magistrale sur tous ses aspects.
Ori – Quand un jeu vidéo devient une œuvre d’art
Dans ce jeu vidéo, vous incarnez Ori, une sorte de petit renard blanc doté de multiples capacités de déplacements et d’attaques acquises au fur et à mesure du jeu.
Votre quête principale sera de retrouver votre amie chouette (l’animal, pas l’adjectif) mais pour cela, il faudra affronter de nombreux ennemis et secrets.
Ori reprend les mêmes principes que le premier opus à savoir une immense carte à explorer au fur et à mesure dans un monde en plateformes 2D. Chaque nouvelle zone révélée cache de nombreux éléments à découvrir :
– Sanctuaires avec des défis de vitesse ou de force (vagues d’ennemis) pour gagner des crédits ou des slots supplémentaires pour vos compétences passives
– Cartographe pour dévoiler toute la carte de la zone moyennant quelques crédits (c’est très très pratique)
– Puits pour accéder à la régénération totale de vos PV et votre énergie
– Minerai (pour une quête annexe de constructions)
– Graines (pour une quête annexe de jardinage)
– Arbre sacré qui renferme de nouveaux pouvoirs pour progresser dans le jeu et accéder à de nouvelles zones
– Crédits, fragments de vie et fragments d’énergie pour accroître vos barres d’énergie et vie
Un vaste bestiaire animalier compose le monde d’Ori que ce soit au niveau des personnages que vous rencontrerez ou des boss eux-mêmes.
Les paysages d’Ori sont tous des tableaux subjuguant de beauté : zone désertique, des caves, la montagne, une forêt luxuriante ou encore au fond de l’eau…
Des Boss et des sueurs froides
Concernant la difficulté, le jeu est relativement accessible, exception faite des Boss qui mettront vos nerfs à très rude épreuve (surtout le tout dernier dans sa phase finale). Pour faciliter cela, vous pourrez acheter des compétences supplémentaires auprès de marchands et débloquer de nouvelles compétences grâce aux arbres sacrés (notamment le très utile triple saut).
Au-delà de sa dimension artistique majestueuse, l’histoire d’Ori est également très belle et pourrait même vous faire verser quelques larmes.
Ori vous demandera d’avoir des réflexes d’acier pour jongler entre les différentes touches et gâchettes de votre manette pour parvenir à réaliser le bon saut ou le bon usage d’arme face aux ennemis qui vous entourent dans des situations de grand stress à certains moments.
Il m’aura fallu une vingtaine d’heures environ pour arriver au bout de l’histoire tout en réalisant de nombreuses quêtes annexes en parallèle.
Indéniablement, une des pépites du XBOX Game Pass de cette année, Ori and the Will of the Wisps vous attend gratuitement sur Console et PC pour les abonnés au service.
Il est également dispo sur Switch et Steam moyennant quelques €.
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