Samsung – L’intelligence artificielle pas avant le Galaxy Note 9
Samsung travaille activement sur la prochaine génération de processeur Exynos doté d’une unité d’intelligence artificielle. Il n’arrivera pas avant le Galaxy Note 9.
Samsung est à la traîne sur les processeurs avec intelligence artificielle.
Pendant que plusieurs de ses concurrents ont déjà des processeurs avec une NPU, la firme coréenne est toujours en phase développement.
Apple et Huawei possèdent déjà des processeurs avec une unité neuronale.
Le Huawei Mate Pro 10 et le Honor View 10, par exemple, embarquent par exemple le Kirin 970.
Vous pouvez découvrir dans notre vidéo de prise en main du Honor View 10 l’intelligence artificielle du processeur en action.
La NPU analyse, améliore et accélère le fonctionnement du smartphone dans différents domaines comme la photo ou la gestion des applications.
Samsung devrait rattraper son retard cette année. D’après le KoreaHerald, elle aurait mis au point une unité neuronale qui dépasserait largement les capacités de celles de ses concurrents.
Intelligence artificielle, Samsung veut aller plus loin
La firme coréenne posséderait une puce pour les smartphones mais aussi les serveurs.
Cette dernière serait d’ailleurs quasiment terminée et elle serait prête à être commercialisée.
Cela semble plus compliqué pour les mobiles. Apple clame que son NPU peut traiter 600 Go d’opérations par secondes et Huawei parle de 4 To.
Actuellement Samsung serait au même niveau mais elle voudrait aller plus loin.
La compagnie arrivera sur le marché avec une intelligence artificielle encore plus évoluée mais pas avant le deuxième semestre 2018.
On en devrait donc pas voir arriver un processeur avec de l’iA signé Samsung avant le Galaxy Note 9 en septembre.
Le Galaxy S9 devrait cependant nous montrer un avant-goût des capacités de cette NPU pour nous mettre l’eau à la bouche.
Pour atteindre son objectif, Samsung aurait investi massivement dans la R&D et elle collaborerait avec des spécialistes extérieurs à la compagnie.
Elle travaillerait avec une vingtaine de professeurs et une centaine de chercheurs dans 3 des meilleures universités de Corée du Sud.
Elle aurait attribué une dotation de 2,8 millions de dollars à chacun d’entre elles pendant 3 ans.
