
Cette idée est particulièrement judicieuse. Le catalogue BlackBerry est peu étoffé mais celui d’Android compte plus de 200 000 applications alors pourquoi ne pas en profiter puisque le système de Google est ouvert. Plus besoin de dépenser des sommes folles pour le développement d’applications natives ou de s’évertuer à séduire les programmeurs pour les ranger dans son camp, la catalogue Android tend les bras à la PlayBook. La tablette de BlackBerry devient ainsi un véritable couteau Suisse et un véritable terrain de jeu pour les développeurs. Elle supporte java, Android, HTML5, Flash, Unity pour les jeux en 3D… Seule limitation annoncée, la PlayBook sera compatible avec les applications Android allant jusqu’à la version 2.3. La récente décision de Google de ne pas rendre publique tout de suite les sources d’Android Honeycomb n’est peut être pas étrangère au tour de passe-passe de RIM.
engadget
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