
Pour cette auteure qui se paye ainsi un joli coup de pub, la culture doit être défendue. Elle explique : « Je fais cela pour que mon livre ne soit pas piraté n’importe où dans le monde. Un pays se construit avec la culture, les livres. Le piratage des livres met en danger la culture. Au Brésil, il n’y a pas de livres pirates. Ce que je vois ici, est une honte. »
Interviewée par la télévision péruvienne, le présenteur avoue que pour une vente de livre au Pérou, il s’en vend 20 piratés. Vanessa s’est donc trouvée confortée dans son action et a lancé un appel au gouvernement pour que la police intervienne et combatte toute forme de piratage.
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Source : ZDnet



