Nous avons eu l’occasion de prendre en main le casque sans fil PXC 550 Wireless de Sennheiser lors d’une présentation. Voici ce que nous en avons pensé. 

Le Sennheiser PXC 550 séduit dès le premier regard. Il est discret, élégant, petit et léger (227 g). On peut facilement le glisser dans un sac. Ce ne sont pas ses seuls atouts. C’est un casque complet avec un grand nombre de fonctions bien pensées.

Il embarque un système de réduction de bruit ultra performant. Le système de Sennheiser s’adapte aux niveaux sonores ambiants en continu. Vous pouvez aussi jouer avec différents réglages directement sur le casque ou depuis l’appli CapTune.

Au niveau maximum, on n’entend plus un seul bruit environnant. C’est d’ailleurs assez déconcertant.

Si vous ne voulez pas vous couper du monde, le PXC 550 comporte 3 micros. Vous pouvez donc entendre ce qui vous entoure sans enlever votre casque et bien sûr prendre un appel téléphonique.

L’utilisation du casque est simple et intuitive notamment grâce à son pavé tactile. Inutile de sortir à chaque fois son smartphone pour monter le volume ou passer d’une piste à l’autre.

Une tape pour écouter de la musique, mettre en pause et deux pour entendre ce que dit votre voisin. On fait glisser son doigt à gauche ou à droite pour se déplacer dans une playlist et en haut ou en bas pour gérer le son.

Le casque fonctionne en Bluetooth 4.2 mais il peut aussi être raccordé avec un câble à un smartphone. Il a une autonomie record de 30 heures. Si vous coupez la réduction de bruit et que vous l’utilisez avec un câble, il peut aller bien au-delà. Il se recharge relativement vite en 3 heures.

Le PXC 550 Wireless sait encore faire beaucoup d’autres choses. On l’éteint en tournant les écouteurs. Quand vous le rallumez un guide vocal vous susurrera même des mots doux à l’oreille. Un autre exemple, il peut mettre automatiquement en pause la musique ou les appels quand vous l’enlevez.

Le casque Sennheiser PXC 550 Wireless est vendu à 399€. On aurait apprécié un prix plus doux pour ce concentré de technologie très réussi, mais quand on est mélomane on ne compte pas.