
Parmi les interviews de ce documentaire, l’une d’entre elle était assez étonnante. Un artiste américain, Michael Tompert, a livré sa réflexion sur l’iPad et la marque à la Pomme.
Pour lui, la seule solution a été de brûler la machine, comme il l’a déjà fait par le passé sur d’autres produits Apple. iPhone, Mac Book et maintenant iPad, tous les joujoux siglés Pomme sont bons à être flingués, puis à être tirés en grand format sur papier glacé, un choix artistique qui peut choquer les fans.
Le journaliste interroge Tompert et lui demande, pourquoi une telle réaction, pourquoi cette démarche ? Et l’artiste répond : « Je n’ai pas les réponses, mon but serait plutôt de soulever les questions ».
Il y a quelques siècles on faisait des autodafés avec des livres jugés subversifs. En 2011 on brûle de l’électronique mais peut-être pas pour les mêmes raisons. A méditer…
Via : Atlantico



