Manuel Verlange revient avec une pépite littéraire : La Lumière de la pluie sur son visage (Ed. Le Lion Z’Ailé), une œuvre retravaillée avec finesse et sensibilité.
Ce roman, à mi-chemin entre le jeu et le destin, raconte le lien indéfectible entre une mère et son fils, et leur quête commune : faire de la littérature un terrain de dépassement.
Entre humour et émotion, l’auteur belge offre un récit captivant où la passion des mots devient un défi exaltant.
Un roman audacieux qui réinvente son propre chemin et s’impose comme une lecture incontournable pour ceux qui aiment les histoires où l’art et la vie s’entrelacent.
Envie d’en savoir plus ? Découvrez notre interview de Manuel Verlange ! La Lumière de la pluie sur son visage est une promesse d’aventure littéraire hors du commun !
Si vous deviez donner envie au lecteur de lire votre livre, que lui diriez-vous ?
— Que c’est de la tendresse page à page. De l’humour décalé. L’histoire d’un pari fou, celui de la littérature. Un voyage en pleine mère.
L’histoire d’une véritable terroriste des lettres. Un jeu vers les étoiles, une course au livre. En un mot : si vous n’aimez pas la tendresse, le rire, l’amour, les rêves et la littérature, achetez le livre d’à côté !
« La Lumière de la pluie sur son visage » n’est pas un livre comme les autres, ce n’est pas non plus une seconde édition, ni une version augmentée, pouvez-vous nous raconter l’aventure de ce livre ?
— Depuis 2020, des mots sont passés sous les ponts. Beaucoup de retours de lecteurs ont accompagné ce livre. J’ai rencontré de nombreuses personnes, dans les salons du livre en Belgique et en France, qui sont revenues sur leur lecture de ce roman, d’une manière touchante. Trois romans, deux biographies et deux pièces de théâtre plus tard, j’ai ressenti le besoin de revenir à ce livre, comme on retourne sur un lieu chargé d’enfance.
Vous aviez le succès et même un prix littéraire avec « Demain n’est pas certain » pourquoi avez-vous fait ce choix audacieux ?
— Parce que l’enfance ne se quitte jamais. Parce que ce livre pouvait dire “mieux”. Parce que j’ai eu l’envie, le besoin, de revenir vers ce triangle amoureux : la mère, l’enfant et la littérature.
Pour vous la littérature qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce qui vous donne envie d’écrire ?
— La littérature est un engagement total. Ma mère m’a appris à lire et à écrire avant l’école primaire. J’ai grandi au milieu des livres et de l’amour des livres. Quand on aime les livres à ce point-là, il y a une mère derrière.
— L’envie d’écrire a toujours été présente, en quelque sorte. Je ne me suis jamais vraiment posé la question. Il y a appartenance au milieu des livres, je crois, je suis de là-bas. Peut-être un élément déclencheur : un prof de lettres avait demandé d’écrire un court texte sur un sujet libre. Mon texte avait été choisi, pour ensuite été étudié en classe. Enfin, je ne crois pas qu’en ce qui me concerne il y ait une forme de survie en dehors des livres.
À l’heure où le mot IA est sur toutes les lèvres, quelle perception avez-vous du futur du travail de l’écrivain ?
— Question grave. Profonde. Épineuse. Il restera toujours l’humour décalé, une sorte de surréalisme des lettres, une originalité, un style. Les algorithmes sont d’infinies lasagnes de connaissances. Mais ce sont les artistes qui font les pâtes, inventent les sauces et les assaisonnements.
Quels sont vos futurs projets ?
-Deux prochains romans sont en cours d’achèvement : Au titre d’une enfance heureuse, préfacé par Philippe Reynaert. Et L’Identité amoureuse. Une troisième pièce de théâtre est en cours d’écriture: Lettres de refus. Et un adorable recueil de poèmes et de réflexions tordantes : N’importe quoi sur un peu tout. La pièce de théâtre Bande-Annonce poursuit sa tournée.
-Rencontre des auteurs francophones à New York, du 23 au 25 avril.
-Invité d’honneur du Salon du Livre de l’Isle-Adam, le 7 juin. Les autres rendez-vous de l’auteur.
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