
En Europe d’autres acteurs du monde de l’édition commencent à donner leur opinion. Attachés au respect des droits d’auteurs, ils sont sur la même ligne de conduite que la France.
Booksellers Association : « Notre point de vue à toujours été que si l’accord amendé sur Google Books avait été approuvé cela aurait donné un avantage certain par rapport à la concurrence. Si tel avait été le cas, cela aurait été un pas de trop. »
Copyright Licensing Agency : « Nous supportons entièrement l’édition numérique mais l’accord tel qu’il était aurait garanti à Google l’accès total à des œuvres sous copyright que la société n’avait aucun droit d’exploiter. »
The German Publishers and Booksellers Association : « C’est un jour important pour la législation» « La décision du juge Chin démontre au monde entier que les droits de propriété intellectuelle ne peuvent pas être cédés à des intérêts privés ou commerciaux. »
L’Association Nationale des Editeurs de Livres – ANEL (Québec) : « salue cette décision qui met un terme au Règlement Google et permettra aux éditeurs d’ici de proposer leur propre façon de vendre les livres numériques. […] Grâce à cette décision judiciaire, l’Entrepôt du livre numérique ANEL-De Marque, qui regroupe les formats numériques des oeuvres québécoises et canadiennes de langue française, peut maintenant être le véritable véhicule du livre numérique d’ici. »
La question maintenant est savoir comment Google va réagir car Google Books n’est certainement pas enterré mais seulement freiné.



